Les violences basées sur le genre : quelle prise en charge pour les victimes?

Les violences basées sur le genre : quelle prise en charge pour les victimes?
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Umed est le tout 1er centre de télémédecine et de soins ambulatoires à Abidjan visant à améliorer l’accessibilité des services de santé aux populations urbaines.

Il offre une assistance médicale à domicile et en ligne grâce à son centre d’appel médical, ses solutions numériques de régulation médicale (mobile/web), et sa flotte ambulante de professionnels de santé. Il optimise ainsi le parcours de soin du patient et lui assure un suivi adéquat. C’est la solution la mieux adaptée pour répondre aux besoins de prise en charge préventive et curative des pathologies aiguës et chroniques.

La santé mentale également est une des priorités des équipes de médecins régulateurs de Umed eHealth Center. Les équipes contribuent aux efforts des autorités sanitaires et des organisations locales pour lutter contre les VBG (Violences Basées sur le Genre).

La violence à l’égard des femmes et des filles est l’une des violations des droits fondamentaux les plus fréquentes dans le monde. Elle ne connaît pas de frontières, qu’elles soient économiques, sociales ou géographiques.

À l’échelle mondiale, on estime qu’une femme sur trois sera victime de violences physiques ou sexuelles au cours de son existence. Bien que la violence basée sur le genre mette en péril la santé, la dignité, la sécurité et l’autonomie de ses victimes, elle reste entourée d’une culture du silence.

Elle a parfois des conséquences graves sur la santé sexuelle et reproductive des victimes : grossesses forcées et non désirées, avortements dangereux, fistules traumatiques, infections sexuellement transmissibles, notamment le VIH, allant même jusqu’à leur décès. Le programme Umed eHealth Center propose aux victimes une aide psychosociale, des traitements médicaux et des trousses d’intervention pour les cas de viol, et font valoir le droit de chaque femme et chaque fille à une vie sans mauvais traitements ni violence. L’UNFPA (le Fonds des Nations Unies pour la Population) qui est l’un des principaux organismes des Nations Unies chargés de faire progresser l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes et de faire face aux conséquences physiques et émotionnelles de la violence basée sur le genre attire l’attention des autorités sanitaires mondiales sur l’ampleur du problème.

La violence basée sur le genre existe aux quatre coins du monde. Le nombre de femmes et de filles touchées par ce problème est stupéfiant. Selon les données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au moins une femme sur trois a déjà été battue, contrainte à avoir des rapports sexuels ou maltraitée de quelque autre manière, le plus souvent par quelqu’un de sa connaissance. Selon un autre rapport de l’OMS de 2014, une femme sur cinq est agressée sexuellement dans son enfance.

Le rapport de l’OMS indique également que les femmes qui ont été victimes de violences physiques ou sexuelles courent un risque accru de l’ordre de 16 % d’avoir un bébé présentant un poids insuffisant à la naissance. Elles sont au moins deux fois plus susceptibles de subir un avortement, et dans certaines régions, présentent 50 % plus de risques de contracter le VIH.

La violence basée sur le genre n’est pas uniquement une violation des droits de quelques femmes et filles. L’impunité dont jouissent les agresseurs et la peur engendrée par leurs actes affectent en effet toutes les femmes et toutes les filles. Cette forme de violence fait également des ravages au niveau mondial car elle empêche les femmes et les filles de contribuer au développement international, à la paix et au progrès. Mettre fin à la violence à l’égard les femmes

Umed eHealth Center avec ses partenaires et spécialistes du sujet apportent une aide adaptée sans délai et mettent en place un système d’alerte confidentiels. Le droit et le consentement des victimes sont primordiaux pour Umed et ses partenaires. Sécurité, Confidentialité, Respect et Non-Discrimination sont de rigueur.

La lutte contre la violence à l’égard des femmes dans les contextes de développement et humanitaires est une priorité stratégique pour l’UNFPA ainsi que des autorités ivoiriennes et des associations locales impliquées dans la lutte.

Cela comprend l’élimination des pratiques néfastes telles que les mutilations génitales féminines et le mariage d’enfants. Vous avez des questions ou souhaitiez avoir plus d’informations ?

Vous connaissez des victimes de VBG? Bénéficiez vous aussi d’une assistance à distance ou à domicile.

Contactez l’équipe de médecin régulateur Umed pour votre prise en charge au numéro suivant : +225 07 88 83 38 38 (Le centre d’appel est ouvert 24h/7jrs et joignable également via WhatsApp)